Dernière partie de ma dernière relecture de Confrontation

Coucou tou.te.s 🙂,

 

Samedi dernier, j’ai connu une expérience comme je les aime tant.

Après avoir passé une bonne partie de la matinée à faire des courses (bon… ça je n’aime pas du tout), je me suis rappelé que je devais déposer un colis à la poste. Et patatras ! Pas assez de ruban adhésif pour fermer convenablement mon paquet. Il était 11h passées et la poste fermait à midi (nous n’en sommes pas encore à l’expérience citée plus tôt).

Je me presse de retourner au magasin prendre mon ruban et je termine mon ouvrage dans la voiture.

11h35. Je passe devant le magasin bio dans lequel j’ai eu la flemme d’entrer pendant les courses alors que je voulais des pâtes sans gluten.

Pas le temps ! J’irai sur Internet. La Poste ne m’attendra pas.

11h50. Je sors du bureau de Poste détendue. Je dépose une pièce dans le chapeau d’un sans domicile fixe et je remonte en voiture direction maison.

Sur le chemin, avant de tourner à gauche, je me suis dit que si j’allais tout droit, je pourrais m’offrir des pâtes sans gluten.

Allez courage ma grande !

J’offre des vacances à mon clignotant et file en avant.

Arrivée dans le magasin, j’entame mes investigations. En d’autres termes : mais où ont-elles bien pu ranger ça ? (Je n’ai jamais vu que des vendeuses dans ce magasin).

Et c’est là que mon expérience comme je les aime tant démarre.

Une femme s’approche et m’accoste. Persuadée qu’il s’agit d’une vendeuse (elles sont très accueillantes), je me tourne et constate qu’elle ne porte pas de tablier (tenue officielle du magasin).

Je l’écoute. C’est une réflexologue plantaire qui s’installe dans les environs et qui me propose une séance découverte gratuite.

Me faire tripatouiller les petons gratos ? Mais quand elle veut !!!

Je m’installe donc et nous commençons à discuter. Très douce, très gentille. Nous bavardons de nos choix de changement de carrière… durant une période où j’ai dû faire une pause tellement la peur me rendait malade. J’en étais arrivée à repenser mon projet car il m’affectait trop.

La discussion s’est avérée salvatrice. Je me mettais la pression, parce que je désire vivre de mes écrits alors que je sais que le chemin est rude. Je n’avais pas renoncé, je vous rassure, je ne renoncerai plus. C’est juste que j’étais maussade et j’avais envie de retrouver une motivation positive.

Elle m’a offert ce beau cadeau tout naturellement. Je m’émerveille chaque fois que je rencontre une personne qui souhaite du bonheur à autrui sans arrière-pensée. J’en rencontre de plus en plus et ça me réchauffe le cœur. Ça veut dire que je suis enfin capable de les voir.

Ce que je trouve formidable, c’est que j’avais entamé ma dernière relecture de Confrontation trois jours plus tôt et que je priais dans mon for intérieur pour qu’un signe positif se présente dans le désert que je traversais. J’avais envie d’une telle rencontre. Et je l’ai eue.

 

Le plus amusant, c’est qu’elle avait rendez-vous avec deux personnes qui ne se sont pas présentées et moi, à l’origine, je ne devais pas venir. Pourtant quelque chose, un je ne sais quoi, m’a encouragée à pousser la voiture un peu plus en avant, pour avancer moi-même beaucoup plus loin.

Depuis, je continue ma relecture (faut que je m’y remette d’ailleurs, après cet article). J’espère finir mi-février et après… après… ce sera le grand saut dans l’inconnu.

 

 

 

Bonne semaine et bonne.s lecture.s (écoute.s) 😘

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